Chanson damour, ra da da da da, play encore.
Here in my heart, ra da da da da, more and more.
Chanson damour, ra da da da da, je tadore.
Each time I hear, ra da da da da, chanson, chanson, damour.
(sax solo)
Ra da da da da
(sax solo)
Ra da da da da
Chanson damour, ra da da da da, je tadore.
Each time I hear, ra da da da da, chanson, chanson, damour.
Every time I hear
Chanson, chanson, damour.
De: http://www.quedeletras.com/letra-cancion-chanson-d-amour-manhattan-transfer-bajar-90952/disco-mira-quien-baila/recopilatorios-2007-chanson-d-amour-manhattan-transfer.html
Acerca de Manhattan Transfer: http://www.apoloybaco.com/manhattantransferbiografia.htm
lunes, 17 de enero de 2011
Canson D´amour. The Manhattan Transfer
sábado, 15 de enero de 2011
Vienen los rojos
http://www.elpais.com/articulo/opinion/Vienen/rojos/elpepuopi/20110115elpepiopi_9/Tes
Des Chatons Dans un Panier.Guillaume Aldebert
Des Chatons Dans Un Panier
Moi j'y crois
Et je t'idéalise
Je recherche un endroit où poser mes valises
Toi et moi révisons l'ordinaire
En triplex à Montmartre avec vue sur la mer
Comme dans un clip de R'n'B je porte un manteau de fourrure,
Devant des mannequins en maillot qui lavent une grosse voiture
Le bonheur c'est arriver à désirer ce qu'on a déjà
C'est du vent dans la prose
Du temps qui prend la pause, c'est du chagrin qui se repose,
Sûre de toi, moi dans le doute,
A cherche l'équilibre on ne peut plus délicat,
Sur le toit, ou dans la soute,
Entre ce que l'on est et ce que l'on a,
Je rêve, d'une épopée hollywoodienne,sous une pluie de tirs automatiques,
Je sauve la Terre, et te ramène chez nous en Amérique,
Le bonheur c'est arriver à désirer ce qu'on a déjà
C'est du vent dans la prose
Du temps qui prend la pause, c'est du chagrin qui se repose,
Chercher un vain Byzance,
La Félicité suprême impossible,
Il nous reste l'imagerie d'aisance des paradis disponibles,
A passer sans nuages une beauté diaphane,
Les biches de Walt Disney,
Quelques violons Tziganes,
Un pied déjà dans la tombe, compte à rebours en bandoulière,
Vivre chaque seconde comme si c'était la première,
Que l'on nous jette une bouée pour nager dans les câlins,
Là où l'on a pas pieds mon Amélie Poulain,
Sans décor en carton, comme ce calendrier,
Des chatons dans un panier, des chatons dans un panier,
C'est du chagrin qui se repose,
Voit comme quoi, on est si mal que ça, tous les deux dans ton pull allongés sous les toits,
Petite soeur, le bonheur est partout,
Pourquoi chercher ailleurs, ce que l'on a en nous?
Le bonheur c'est arriver à désirer ce qu'on a déjà
C'est du vent dans la prose
Du temps, du temps, qui prend la pause,
c'est du chagrin qui se repose...
De: Des Chatons Dans Un PanierMoi j'y crois
Et je t'idéalise
Je recherche un endroit où poser mes valises
Toi et moi révisons l'ordinaire
En triplex à Montmartre avec vue sur la mer
Comme dans un clip de R'n'B je porte un manteau de fourrure,
Devant des mannequins en maillot qui lavent une grosse voiture
Le bonheur c'est arriver à désirer ce qu'on a déjà
C'est du vent dans la prose
Du temps qui prend la pause, c'est du chagrin qui se repose,
Sûre de toi, moi dans le doute,
A cherche l'équilibre on ne peut plus délicat,
Sur le toit, ou dans la soute,
Entre ce que l'on est et ce que l'on a,
Je rêve, d'une épopée hollywoodienne,sous une pluie de tirs automatiques,
Je sauve la Terre, et te ramène chez nous en Amérique,
Le bonheur c'est arriver à désirer ce qu'on a déjà
C'est du vent dans la prose
Du temps qui prend la pause, c'est du chagrin qui se repose,
Chercher un vain Byzance,
La Félicité suprême impossible,
Il nous reste l'imagerie d'aisance des paradis disponibles,
A passer sans nuages une beauté diaphane,
Les biches de Walt Disney,
Quelques violons Tziganes,
Un pied déjà dans la tombe, compte à rebours en bandoulière,
Vivre chaque seconde comme si c'était la première,
Que l'on nous jette une bouée pour nager dans les câlins,
Là où l'on a pas pieds mon Amélie Poulain,
Sans décor en carton, comme ce calendrier,
Des chatons dans un panier, des chatons dans un panier,
C'est du chagrin qui se repose,
Voit comme quoi, on est si mal que ça, tous les deux dans ton pull allongés sous les toits,
Petite soeur, le bonheur est partout,
Pourquoi chercher ailleurs, ce que l'on a en nous?
Le bonheur c'est arriver à désirer ce qu'on a déjà
C'est du vent dans la prose
Du temps, du temps, qui prend la pause,
c'est du chagrin qui se repose...
De: Des Chatons Dans Un PanierMoi j'y crois
Et je t'idéalise
Je recherche un endroit où poser mes valises
Toi et moi révisons l'ordinaire
En triplex à Montmartre avec vue sur la mer
Comme dans un clip de R'n'B je porte un manteau de fourrure,
Devant des mannequins en maillot qui lavent une grosse voiture
Le bonheur c'est arriver à désirer ce qu'on a déjà
C'est du vent dans la prose
Du temps qui prend la pause, c'est du chagrin qui se repose,
Sûre de toi, moi dans le doute,
A cherche l'équilibre on ne peut plus délicat,
Sur le toit, ou dans la soute,
Entre ce que l'on est et ce que l'on a,
Je rêve, d'une épopée hollywoodienne,sous une pluie de tirs automatiques,
Je sauve la Terre, et te ramène chez nous en Amérique,
Le bonheur c'est arriver à désirer ce qu'on a déjà
C'est du vent dans la prose
Du temps qui prend la pause, c'est du chagrin qui se repose,
Chercher un vain Byzance,
La Félicité suprême impossible,
Il nous reste l'imagerie d'aisance des paradis disponibles,
A passer sans nuages une beauté diaphane,
Les biches de Walt Disney,
Quelques violons Tziganes,
Un pied déjà dans la tombe, compte à rebours en bandoulière,
Vivre chaque seconde comme si c'était la première,
Que l'on nous jette une bouée pour nager dans les câlins,
Là où l'on a pas pieds mon Amélie Poulain,
Sans décor en carton, comme ce calendrier,
Des chatons dans un panier, des chatons dans un panier,
C'est du chagrin qui se repose,
Voit comme quoi, on est si mal que ça, tous les deux dans ton pull allongés sous les toits,
Petite soeur, le bonheur est partout,
Pourquoi chercher ailleurs, ce que l'on a en nous?
Le bonheur c'est arriver à désirer ce qu'on a déjà
C'est du vent dans la prose
Du temps, du temps, qui prend la pause,
c'est du chagrin qui se repose...
De: Des Chatons Dans Un PanierMoi j'y crois
Et je t'idéalise
Je recherche un endroit où poser mes valises
Toi et moi révisons l'ordinaire
En triplex à Montmartre avec vue sur la mer
Comme dans un clip de R'n'B je porte un manteau de fourrure,
Devant des mannequins en maillot qui lavent une grosse voiture
Le bonheur c'est arriver à désirer ce qu'on a déjà
C'est du vent dans la prose
Du temps qui prend la pause, c'est du chagrin qui se repose,
Sûre de toi, moi dans le doute,
A cherche l'équilibre on ne peut plus délicat,
Sur le toit, ou dans la soute,
Entre ce que l'on est et ce que l'on a,
Je rêve, d'une épopée hollywoodienne,sous une pluie de tirs automatiques,
Je sauve la Terre, et te ramène chez nous en Amérique,
Le bonheur c'est arriver à désirer ce qu'on a déjà
C'est du vent dans la prose
Du temps qui prend la pause, c'est du chagrin qui se repose,
Chercher un vain Byzance,
La Félicité suprême impossible,
Il nous reste l'imagerie d'aisance des paradis disponibles,
A passer sans nuages une beauté diaphane,
Les biches de Walt Disney,
Quelques violons Tziganes,
Un pied déjà dans la tombe, compte à rebours en bandoulière,
Vivre chaque seconde comme si c'était la première,
Que l'on nous jette une bouée pour nager dans les câlins,
Là où l'on a pas pieds mon Amélie Poulain,
Sans décor en carton, comme ce calendrier,
Des chatons dans un panier, des chatons dans un panier,
C'est du chagrin qui se repose,
Voit comme quoi, on est si mal que ça, tous les deux dans ton pull allongés sous les toits,
Petite soeur, le bonheur est partout,
Pourquoi chercher ailleurs, ce que l'on a en nous?
Le bonheur c'est arriver à désirer ce qu'on a déjà
C'est du vent dans la prose
Du temps, du temps, qui prend la pause,
c'est du chagrin qui se repose...
De: http://musique.ados.fr/Aldebert/Des-Chatons-Dans-Un-Panier-t109955.html
Acerca de Guillaume Aldebert: http://fr.wikipedia.org/wiki/Guillaume_Aldebert
viernes, 14 de enero de 2011
Serenade in blue. Glenn Miller
Serenade In Blue
Glenn Miller
When I hear that Serenade in blue
I'm somewhere in another world, alone with you
Sharing all the joys we used to know
Many moons ago
Once again your face comes back to me
Just like the theme of some forgotten melody
In the album of my memory
Serenade in blue
It seems like only yesterday
The small cafe, a crowded floor
And as we danced the night away
I hear you say forever more
And then the song became a sigh
Forever more became goodbye
Cause you remianed in my heart, but
Tell me darling in there still a spark?
Or only lonely ashes of the flame we knew
Should I go on whistling in the dark,
Serenade in blue
Bill Ball
billball
hotmail.com
De: http://www.lyricsdepot.com/glenn-miller/serenade-in-blue.html
Acerca de Lynn Bari: http://en.wikipedia.org/wiki/Lynn_Bari
Acerca de Glenn Miller: http://www.lyricsdepot.com/glenn-miller/serenade-in-blue.html
martes, 11 de enero de 2011
¿Cuánto cuesta ser amable?
Isabel Lara. Redactora
lunes, 10 de enero de 2011
Fumadores maltratadores
en el fango seres dañinos
para nuestra salud que demuestran
la necesidad de esa
limpieza. En modo parecido, la
reformada ley antitabaquismo
está revelando su necesidad,
al revolverse indignada esa pequeña
pero muy dañina minoría
de fumadores que no sólo
va a poder seguir dañando su
propia salud con toda libertad,
sino que pretende seguir dañando
también la salud del
prójimo. Así el energúmeno
que tuvo que ser detenido por
agredir a quienes le advirtieron
que no podía fumar en un
hospital. O el que hirió al dueño
de un bar extremeño que
le recordó que allí no podía fumar.
Oel propietario de un restaurante
marbellí que vocea
que quiere emigrar porque en
España ya no hay libertad. En
efecto, ya no se puedemaltratar
como antes a su perro, a su
mujer, ni a su cliente. ¡Buen viaje
y pobre del país que lo reciba!
Martín Sagrera.
Carta publicada en la pág. 17 de 20 minutos, el lunes 10-I-11
jueves, 6 de enero de 2011
Una dura competición (de obispos)
http://www.elpais.com/articulo/opinion/dura/competicion/elpepiopi/20110106elpepiopi_3/Tes
Qué país...
“Qué país, qué paisaje, qué paisanaje" (Miguel de Unamuno en el periódico Ahora de 22 de Agosto de 1.933)
Francisco Bernabé Roca 28-XII-10
domingo, 2 de enero de 2011
Los obispos llaman a la reconquista
Obispollo. Maruja Torres
http://www.elpais.com/articulo/ultima/Obispollo/elpepiult/20101230elpepiult_1/Tes
sábado, 1 de enero de 2011
As Time Goes By. Billie Holiday
AS TIME GOES BY
(Theme from Casablanca)
by Frank Sinatra
You must remember this:
A kiss is still a kiss,
A sigh is just a sigh.
The fundamental things apply
As time goes by.
And when two lovers woo
They still say: 'I love you'.
On that you can rely,
No matter what the future brings,
As time goes by.
Moonlight and love songs,
Never out of date.
Hearts full of passion,
Jealousy and hate.
Woman needs man,
And man must have his mate.
That, no one can deny.
It's still the same old story,
A fight for love and glory,
A case of do or die.
The world will always
Welcome lovers
As time goes by. A MEDIDA QUE PASA EL TIEMPO
(Tema de Casablanca)
por Frank Sinatra
Debes recordar esto:
Un beso es aún un beso,
Un suspiro es sólo un suspiro.
Las cosas fundamentales se aplican
A medida que pasa el tiempo.
Y cuando dos amantes se comprometen
Aún dicen: 'Te amo'.
En eso puedes confiar,
No importa lo que el futuro trae,
A medida que pasa el tiempo.
La luz de la luna y las canciones de amor,
Nunca están pasadas de moda.
Los corazones llenos de pasión,
Celos y odio.
La mujer necesita del hombre,
Y el hombre debe tener su compañera.
Eso, nadie lo puede negar.
Es aún la misma vieja historia,
Una lucha por el amor y la gloria,
Un caso de hacer o morir.
El mundo siempre dará la
Bienvenida a los amantes
A medida que pasa el tiempo.
to go by pasar. 'Time goes by' significa 'El tiempo pasa'. 'As time goes by' es 'A medida que pasa el tiempo'.
still todavía, aún
sigh suspiro. El verbo to sigh es suspirar.
to woo comprometerse (para casarse)
to rely on something confiar en algo. Note el uso de la preposición on.
no matter no importa, no interesa
to bring traer
moonlight la luz de la luna
to be out of date estar fuera de fecha, pasado
jealousy celos. Estar celoso se dice to be jealous.
hate odio. El verbo to hate significa odiar.
mate compañero. Un compañero de clase se dice classmate. Un compañero de cuarto se dice roommate.
no one nadie
to deny something negar algo
fight lucha. El verbo to fight es luchar.
case caso
do or die hacer o morir
De: http://www.saberingles.com.ar/songs/77.html
Acerca de Billie Holyday: http://es.wikipedia.org/wiki/Billie_Holiday
viernes, 31 de diciembre de 2010
martes, 28 de diciembre de 2010
El jamón y el crucifijo
Hoy tengo que mostrarme menos complaciente porque la redactora Ana García en su artículo del viernes día 24, titulado Ofensores y ofendidos, nos habla del disparate que supone que un niño musulmán haya denunciado a su profesor por hablar del jamón en clase. Hasta ahí de acuerdo. Afortunadamente en este país tenemos unas leyes garantistas que nos protegen de quienes quieren utilizar las normas –no sólo los musulmanes- para exigir de forma torticera respeto a sus ideas religiosas. En defensa del profesor, el fiscal del caso ha pedido el sobreseimiento de la causa por considerar que “es una postura caprichosa, abusiva, sectaria e inadmisible”, añadiendo que “la jurisdicción penal es algo más serio y su utilización no puede quedar a capricho de nadie, cuando no existe justificación jurídica para ello” (Pág. 50 de este periódico de la fecha citada).
Por tanto, la periodista debe quedar tranquila porque, aunque la libertad de expresión es un derecho de las personas, cualquier dislate como el del caso que nos ocupa no tendrá mucho recorrido.
Ahora bien no debe aprovechar para volver con la cuestión de los crucifijos en los colegios y para contarnos que se están retirando de las capillas de algunos hospitales. En los colegios de titularidad pública asisten estudiantes de distintas creencias religiosas, y no se debe imponer un determinado símbolo religioso por mayoritario que sea el grupo que quiera tenerlo. En cuanto al espacio que en hospitales y tanatorios se dedica a cualquier celebración, debería ser un espacio neutro en el que las personas que la patrocinen, determinen que símbolos o distintivos quieren colocar.
No quiero acabar sin hacer referencia a la humorada de la periodista cuando dice que acabaremos orientando las capillas hacia la Meca. Perdóneme Ana, pero me parece que eso es sacar los pies del tiesto.
Francisco Bernabé Roca 25-XII-10
.
sábado, 25 de diciembre de 2010
viernes, 24 de diciembre de 2010
lunes, 20 de diciembre de 2010
domingo, 19 de diciembre de 2010
sábado, 18 de diciembre de 2010
Mahler en Lucerna. Claudio Abbado
Acerca de Gustav Mahler: http://es.wikipedia.org/wiki/Gustav_Mahler
Acerca de Claudio Abbado: http://es.wikipedia.org/wiki/Claudio_Abbado
Acerca del Festival de Lucerna: http://es.wikipedia.org/wiki/Orquesta_del_Festival_de_Lucern
La situación de la mujer en Afganistan
http://www.elpais.com/articulo/ultima/Olvidadas/elpepiult/20100209elpepiult_1/Tes
http://abcienfuegos.blogspot.com/2009/12/gabriela-canas-la-guerra-justa-excluye.html
http://www.elpais.com/articulo/ultima/Oiga/Chacon/elpepiult/20100204elpepiult_1/Tes
lunes, 13 de diciembre de 2010
La salvajada de los controladores aéreos
Para poner freno al caos derivado del abandono del servicio de los controladores, el gobierno de la nación decretó el estado de alarma y posteriormente ha comparecido en el Congreso de los Diputados para explicar la oportunidad de la medida. Después de la intervención del Presidente del gobierno, Rajoy condenó duramente la postura de los controladores –no era para menos- pero a continuación se permitió el siguiente chascarrillo: “el Ministro de Fomento es un inútil y un caradura”. Aplausos de los suyos y protestas airadas de la bancada socialista. Continúa: “esto lo dijo el Sr. Pérez Rubalcaba de un ministro de fomento popular; yo no digo estas cosas”. ¡Alma bendita! ¿Qué clase de juego de palabras es éste? Frivolidades las justas, que se estaba debatiendo un problema muy serio.
En algo se parecen los controladores y Rajoy: tiran la piedra y esconden la mano.
Francisco Bernabé Roca 9-XII-10
sábado, 11 de diciembre de 2010
jueves, 9 de diciembre de 2010
Discurso de Vargas Llosa como Premio Nobel de Literatura (texto)
http://www.elpais.com/elpaismedia/ultimahora/media/201012/07/cultura/20101207elpepucul_1_Pes_PDF.pdf
miércoles, 8 de diciembre de 2010
30 años de la muerte de John Lennon
ARTISTA: JOHN LENNON
LETRA: IMAGINE
TRADUCCION: IMAGINATE
DISCO: -
ENVIADA POR: (O_o) (oasispy@gmail.com)
FECHA: 2005-11-08 00:00:00 - 55
IMAGINE THERE´S NO HEAVEN
IT´S EASY IF YOU TRY
NO HELL BELOW US
ABOVE US ONLY SKY
IMAGINE ALL THE PEOPLE
LIVING FOR TODAY...
IMAGINE THERE´S NO COUNTRIES
IT ISN´T HARD TO DO
NOTHING TO KILL OR DIE FOR
AND NO RELIGION TOO
IMAGINE ALL THE PEOPLE
LIVING LIFE IN PEACE...
Letras4U.com » letras traducidas al español
YOU MAY SAY I´M A DREAMER
BUT I´M NOT THE ONLY ONE
I HOPE SOMEDAY YOU´LL JOIN US
AND THE WORLD WILL BE AS ONE
IMAGINE NO POSSESSIONS
I WONDER IF YOU CAN
NO NEED FOR GREED OR HUNGER
A BROTHERHOOD OF MAN
IMAGINE ALL THE PEOPLE
SHARING ALL THE WORLD...
YOU MAY SAY I´M A DREAMER
BUT I´M NOT THE ONLY ONE
I HOPE SOMEDAY YOU´LL JOIN US
AND THE WORLD WILL LIVE AS ONE
IMAGINA QUE NO EXISTE EL CIELO,
ES FÁCIL SI LO INTENTAS,
SIN EL INFIERNO DEBAJO NUESTRO,
ARRIBA NUESTRO, SOLO EL CIELO.
IMAGINA A TODA LA GENTE
VIVIENDO EL HOY...
IMAGINA QUE NO HAY PAÍSES,
NO ES DIFÍCIL DE HACER,
NADIE POR QUIEN MATAR O MORIR,
NI TAMPOCO RELIGIÓN,
Letras4U.com » letras traducidas al español
IMAGINA A TODA LA GENTE,
VIVIENDO LA VIDA EN PAZ...
IMAGINA QUE NO HAY POSESIONES,
QUISIERA SABER SI PUEDES,
SIN NECESIDAD DE GULA O HAMBRE,
UNA HERMANDAD DE HOMBRES,
IMAGÍNATE A TODA LA GENTE
COMPARTIENDO EL MUNDO
PUEDES DECIR QUE SOY UN SOÑADOR,
PERO NO SOY EL ÚNICO,
ESPERO QUE ALGÚN DÍA TE UNAS A NOSOTROS
Y EL MUNDO VIVIRÁ COMO UNO
De: http://www.letras4u.com/john_lennon/imagine.htm
Acerca de John Lennon: http://es.wikipedia.org/wiki/John_Lennon
lunes, 6 de diciembre de 2010
Ne me quitte pas. Jacques Brel
Brel Jacques - Ne me quitte pas
Cargado por smileynoir. - Ver más clips de música, videos en HD!
Ne me quitte pas
by Jacques Brel
Ne me quitte pas
Il faut oublier
Tout peut s'oublier
Qui s'enfuit déjà
Oublier le temps
Des malentendus
Et le temps perdu
A savoir comment
Oublier ces heures
Qui tuaient parfois
A coups de pourquoi
Le cœur du bonheur
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Moi je t'offrirai
Des perles de pluie
Venues de pays
Où il ne pleut pas
Je creuserai la terre
Jusqu'après ma mort
Pour couvrir ton corps
D'or et de lumière
Je ferai un domaine
Où l'amour sera roi
Où l'amour sera loi
Où tu seras reine
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Je t'inventerai
Des mots insensés
Que tu comprendras
Je te parlerai
De ces amants-là
Qui ont vu deux fois
Leurs cœurs s'embraser
Je te raconterai
L'histoire de ce roi
Mort de n'avoir pas
Pu te rencontrer
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
On a vu souvent
Rejaillir le feu
De l'ancien volcan
Qu'on croyait trop vieux
Il est paraît-il
Des terres brûlées
Donnant plus de blé
Qu'un meilleur avril
Et quand vient le soir
Pour qu'un ciel flamboie
Le rouge et le noir
Ne s'épousent-ils pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Je n'vais plus pleurer
Je n'vais plus parler
Je me cacherai là
A te regarder
Danser et sourire
Et à t'écouter
Chanter et puis rire
Laisse-moi devenir
L'ombre de ton ombre
L'ombre de ta main
L'ombre de ton chien
Mais
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas.
De: http://fr.lyrics-copy.com/jacques-brel/ne-me-quitte-pas.htm
Acerca de Jacques Brel: http://fr.lyrics-copy.com/jacques-brel/ne-me-quitte-pas.htm
viernes, 3 de diciembre de 2010
Woody Allen, según Carlos Boyero
Lo ha dicho esta mañana Carlos Boyero en el programa Hoy por Hoy de la Cadena SER.
Acerca de Woody Allen: http://es.wikipedia.org/wiki/Woody_Allen
Acerca de Carlos Boyero: http://es.wikipedia.org/wiki/Carlos_Boyero
sábado, 27 de noviembre de 2010
El silencio de los buenos
Martin Luther King
Acerca de Martin Luther King: http://es.wikipedia.org/wiki/Martin_Luther_King
viernes, 26 de noviembre de 2010
María la portuguesa. Carlos Cano
En las noches de luna y clavel
de Ayamonte hasta Villareal
sin rumbo por el rio, entre suspiros
una canción viene y vá
Que la canta María
al querer de un andaluz.
María es la alegría, y es la agonía
que tiene el sur.
Que conoció a ese hombre
en una noche de vino verde y calor
y entre palmas y fandangos
la fue enredando, le trastornó el corazón.
Y en las playas de isla
se perdieron los dos
donde rompen las olas, besó su boca
y se entregó.
Ay, María la portugesa
desde Ayamonte hasta Faro
se oye este fado por las tabernas
donde bebe viño amargo
porque canta con tristeza
porque esos ojos cerrados
por un amor desgraciado,
por eso canta, por eso pena.
¡Fado! fado porque me faltan tus ojos
¡Fado! porque me falta tu boca
¡Fado! porque se fue por el rio
¡Fado! porque se va con la sombra
Dicen que fue el te quiero
de un marinero, razón de su padecer
que en una noche en los barcos
de contrabando, p'al langostino se fue.
Y en las sombras del rio,
un disparo sonó.
Y de aquel sufrimiento, nació el lamento
de esta canción.
De: http://www.sitiodeletras.com/mostrar.php?lid=5266&artista=Carlos%20Cano&titulo=Maria%20La%20Portuguesa
Acerca de Carlos Cano: http://www.sitiodeletras.com/mostrar.php?lid=5266&artista=Carlos%20Cano&titulo=Maria%20La%20Portuguesa
jueves, 25 de noviembre de 2010
Esta vida loca. Francisco Céspedes
porque tu me faltas,
quiero darle al alma,
el consuelo que le falta.
porque el pensamiento,
no le gana al tiempo,
y al sentido que me mata.
y auque estes adentro
y este sentimiento
se me antoje eterno
esta lejania duele cada dia
porque no te tengo
no tengo tu boca
no tengo tus ganas
y por mas que intento
ya no entiendo nada
ella y yo
ella y yo
y auque estes adentro
y este sentimiento
se me antoje eterno
esta lejania duele cada dia
porque no te tengo
no tengo tu boca
no tengo tus ganas
y por mas que intento
ya no entiendo nada
de esta vida loca, loca, loca
y de su loca realidad
que se ha vuelto loca, loca, loca
por buscar otro lugar
pero le provoca este sufrimiento
y no me abandona
porque a mi me toca
esta vida loca
y auque estes adentro
y este sentimiento
se me antoje eterno
esta lejania duele cada dia
porque no te tengo
no tengo tu boca
no tengo tus ganas
y por mas que intento
ya no entiendo nada
de esta vida loca, loca, loca
y de su loca realidad
que se ha vuelto loca, loca, loca
por buscar otro lugar
pero le provoca este sufrimiento
y no me abandona
porque a mi me toca
esta vida loca
loca, loca como yo
vida loca
y es que a mi me toca
esta vida loca
esta vida loca, loca, loca
y de su loca realidad
que se ha vuelto loca, loca, loca
por buscar otro lugar
pero le provoca este sufrimiento
y no me abandona
porque a mi me toca
esta vida loca
loca, loca como yo
vida loca
y es que a mi me toca
esta vida loca
Francisco Céspedes
Letra añadida por Horacio Valdivia
De: http://www.musica.com/letras.asp?letra=963995
Acerca de Francisco Céspedes:
domingo, 21 de noviembre de 2010
Más sobre Mitología Rosa
Si el censor hubiera hecho una lectura más atenta del artículo citado, habría percibido el tono de parodia en el que está escrito: “Las peligrosas experiencias psicotrópicas de Ulises guardan un interesante parecido con las desenfrenadas fiestas de Amy Winehouse en Camden Town". Este fragmento y otros, hecha por tierra la acusación de la falta de cultura de Gema. Otro fragmento que abunda en mi tesis: “Quizás dentro de 2.000 años la Mitología Rosa sea una asignatura más en los institutos. Si eso ocurre, aprovecho la ocasión para avisar a los estudiantes del futuro de que el tema de La Pantoja cae fijo en el examen”
Con una lectura literal hasta se habría acusado a Cervantes por fomentar la afición de los libros de caballería al escribir EL QUIJOTE, cuando sabemos que su intención fue la opuesta, hacer una llamada de atención a una sociedad que estaba ensimismada por unos falsos héroes.
No es de recibo que una persona que acusa a otras de falta de ética, quiera asegurarse la publicación de su carta, lanzándole a la directora del periódico el siguiente grosero desafío: “Ahora, si tiene lo que tiene que tener publique mi carta…”
En sus siguientes artículos, Gema Panalés debería tener más cuidado en el manejo de sus ironías, porque el personal no está para estas delicatessen. Ahora bien, cuidado con las precauciones que le recomiendo, porque no hay nada más castrante que la autocensura.
Francisco Bernabé Roca 19-XI-10
miércoles, 17 de noviembre de 2010
Carta aparecida en Publico el 17-XI-10
Para los que crecimos entre rezos y marchas militares, en aquellos años de mediocridad intelectual y miseria moral, las películas de Azcona y Berlanga actuaban en nosotros como fármacos protectores contra la estupidez oficial. Después de cada carcajada, notábamos la mejoría.
martes, 16 de noviembre de 2010
¿Laicismo radical?
Teniendo en cuenta las anteriores definiciones, dadas por la autoridad competente, no quiero ofender a quien esté leyendo estas líneas explicando por qué no hay nada censurable en las personas partidarias de un laicismo radical.
Como Cañizares y el Papa han utilizado la expresión comentada dándole el valor de una conducta reprobable, mi duda es si la han empleado sin conocer su significado, incurriendo en una grave irresponsabilidad o conociéndolo, han querido manipular a las gentes que los tienen por hombres justos.
Francisco Bernabé Roca 14-XI-10
lunes, 15 de noviembre de 2010
Time After Time. 12 intérpretes
Margaret Whiting sobre imágenes de Amy Adams
Ella Fitzgerald
Sarah Vaughn
Kathryn Grayson
June Fermie
Chet Baker
Jule Styn
Rod Stewart
Al Martino
Inga Kaare
Sammy Cahn
sábado, 13 de noviembre de 2010
jueves, 11 de noviembre de 2010
Serenata a la luz de la Luna. Glenn Miller
Acerca de Glenn Miller: http://es.wikipedia.org/wiki/Glenn_Miller
martes, 9 de noviembre de 2010
No más leísmos, por favor
Desde hace algunos años, en estas mismas páginas, he visto publicadas varias cartas mías sobre el uso de una falta muy común, el leísmo, entre ellas: La invasión de los leísmos, El leísmo que no cesa, y Comas y leísmos. En todas comenté algunas de estas incorrecciones que señala la RAE, cometidas en este periódico. Como el error se viene cometiendo con harta frecuencia –y no sólamente en este medio- mención aparte merecerían los laísmos, me permito señalar tres seguidos que pudimos observar en la pág. 16 de La Opinión de Murcia, el sábado, día 30 de octubre. Rosa Peñalver, del Ministerio de Educación, en su a modo de agenda semanal, describiendo las instrucciones que para torturar reciben las tropas británicas y estadounidenses, anota: “…la asfixia, no dejarles dormir, mantenerles desnudos, desorientarles, provocarles miedo…”. Todas las palabras con terminaciones –les se escriben correctamente con terminaciones –los, excepto la última –provocarles- que está bien escrita.
Claro, que todo esto pasa a segundo plano cuando los paladines de la Civilización Occidental, Reino Unido y Estados Unidos, muestran tan poco respeto por los derechos humanos más elementales.
Pero, por favor, no más leísmos.
Francisco Bernabé Roca 4-XI-10
sábado, 6 de noviembre de 2010
A propósito de la gesta sexual de Sánchez Dragó
El turismo sexual
ELENA PUEYO (Miembro de Esclavitud XXI)
No somos muy conscientes de esto, pero es este consumo lo que hace que miles de niñas desde los cinco años o antes sean brutalmente violadas. En Camboya son los propios camboyanos los que esclavizan a sus niñas, niños y mujeres.
Pero la responsabilidad mayor recae en la demanda de los países ricos, mayormente de países europeos, Estados Unidos y otros. Hay agencias de viajes que venden más porque promocionan estos servicios en sus hoteles y la demanda es tan atroz que un ser humano vale menos que un vaquero de 30 euros. Hoy en día puedes comprar a una persona por este precio. La demanda es la principal culpable de esta deshumanización sin precedentes en este siglo actual.
La prostitución forzada o esclavitud y la pedofilia tienen muchos cómplices, cualquiera que de alguna manera alimenta la industria del sexo.
viernes, 5 de noviembre de 2010
La cumbre del macho ibérico
Tras una ardua deliberación, el lobby del colectivo machuno ha elegido a cuatro representantes cuyos cojones harían temblar de miedo al mismísimo Chuck Norris. De un lado, los ideólogos políticos del movimiento: el excelentísimo alcalde de Valladolid, don Javier León de la Riva y el diputado por el PSOE en el Congreso y ex vicepresidente del Gobierno Alfonso Guerra. De otro lado, la ilustre esfera cultural patria: el doctor en Letras, contertulio y periodista de Telemadrid, Fernando Sánchez Dragó, y el ex reportero de guerra, escritor y académico de la Real Academia de la Lengua Arturo Pérez Reverte.
Ideologías enfrentadas bajo un denominador común: la patanería de pelo en pecho, es decir, el toma y daca de la testosterona venida a menos por la pitopausia. La sesión la abre el alcalde de Valladolid:
LEÓN DE LA RIVA: Venga, coño, vamos al lío, que esto lo cerramos hoy. No quiero mariconadas de última hora.
GUERRA: Usted lo que quiere es meterla en caliente, cabrón. Pero ya sabe que estos dos se la cogen con papel de fumar.
PÉREZ REVERTE: Joder, don Alfonso. ¿Es que su señora no le ha dado una alegría esta mañana? Mire que antes de cerrar esta clase de acuerdos uno tiene que venir aliviado de casa. Si no, no hay manera.
GUERRA: No me toque los huevos, don Arturo, que lo mismo, cuando terminemos, me paso por su casa.
SÁNCHEZ DRAGÓ: Caballeros, lo que está claro es que no vamos a tragar. El lobby feminista va por ahí calentando al personal y nos la quiere meter doblada… Y para huevos, los nuestros, ¡joder!
LEÓN DE LA RIVA: Ya lo que clama al cielo es lo de la ministra de Sanidad y Política Social, la Leire Pajín, ¿verdad? que es una chica preparadísima, hábil, discreta… que va repartir condones a diestro y siniestro por donde quiera que vaya y que va a ser la alegría de la huerta. Yo tengo que decir que cada vez que la veo la cara (sic) y esos morritos pienso lo mismo, pero no lo voy a contar aquí.
SÁNCHEZ DRAGÓ: ´Chica´, ´discreta´, ´condones´, ´morritos´... Por el campo semántico, se diría que frecuenta los anuncios de contactos ¿eh, bribón? ¡Está usted hecho un picha brava!
PÉREZ REVERTE: Si es que apenas quedan mujeres como las de antes. Ahora sólo se ven focas desechos de tienta que pasan junto a nosotros vestidas con pantalón pirata, lorzas al aire y camiseta sudada. Caminan arqueando las piernas, toc, toc, con tan poca gracia que es como para, piadosamente —¿acaso no se mata a los caballos?—, abatirlas de un escopetazo. ¿Dónde están esas tordas espectaculares con zapatos de aguja, cintura ceñida, curva de caderas y falda de tubo ajustada hasta las rodillas? Antes, hasta las niñas, en el recreo, se recogían con una mano la falda del babi y procuraban caminar con ese suave contoneo.
SÁNCHEZ DRAGÓ: No me hable de menores, que me pongo palote... ¡Je, je! Por favor, no me malinterpreten, que estoy de cachondeo. Sin embargo, en Tokio, un día, me topé con unas lolitas, pero no eran unas lolitas cualesquiera, sino de esas que se visten como zorritas: con los labios pintados, carmín, rímel, tacones, mini falta… Tendrían unos 13 años. Subí con ellas y las muy putas se pusieron a turnarse. Mientras una se iba al wáter, la otra se me trajinaba.
GUERRA: Calle, calle, que como le oiga el lobby feminista, se nos caen los pantalones. A mí sólo se me ocurrió referirme a Trinidad Jiménez como ´la señorita Trini´ y menuda me liaron. Y todo porque a Tomás Gómez lo llamé ´señor Gómez´. Lo de ´Trini´ era un diminutivo cariñoso, por la confianza, ya sabe… como el que emplea un padre con su niñita. ¿Qué querían? ¿Que llamara al candidato a la alcaldía madrileña ´señorito Tomasín´?
LEÓN DE LA RIVA: Ya ve, si es que esto de la paridad es una parida.
PÉREZ REVERTE: Y encima, ese ministro que se va llorando como un perfecto mierda cual nenaza premenstrual. ¿Es que no sabe que la valentía es lo propio del hombre y la sensibilidad un vicio femenino? ¡Coño, menuda perla filosófica! ¡Directa al Twitter!
GUERRA: Bueno, yo creo que la cumbre ha sido un éxito sin precedentes. Hemos cumplido como sementales.
SÁNCHEZ DRAGÓ: Sin duda. Mis felicitaciones, caballeros. Han negociado ustedes como putas viejas.
PÉREZ REVERTE: Señores, señores, por favor. No empecemos a chuparnos las pollas todavía. Pasemos todas las conclusiones extraídas en este histórico encuentro al acta de sesiones y vayamos a tomarnos unas cañitas. Y rapidito, que a las siete tengo reunión en la RAE.
Publicado en La Opinión de Murcia, el 1-XI-10.
Cuando vinieron a por los comunistas...
Francisco Bernabé Roca 17-X-10
jueves, 4 de noviembre de 2010
Antonio Burgos y el porno
Dice Antonio Burgos en su “Recuadro” de ABC que Leire Pajín tiene cara de peli porno… Y, seguro, que le parece muy gracioso y ocurrente ¡Qué mal hay que estar de la cabeza -y de otras cosas- para escribir algo así!
Creerá Burgos que esa afirmación sobre la secretaria de organización del PSOE hace honor a su fama de periodista mordaz y de tío echaopalante pero, en realidad, donde le coloca esa frase es en el archivo grosero, soez y casposo de la prensa española.
Me dirán que hablar de Leire Pajín en esos términos forma parte de la libertad de expresión del Sr. Burgos -escritor y periodista- y que yo, compañera de Leire, no tengo autoridad para reprobarlo. Pero ¿vamos a seguir callándonos ante faltas de respeto así? ¿Le gustaría al Sr. Burgos que dijeran lo que él ha escrito de Leire de una hija, o de una hermana o de una amiga suya? ¿O es que somos “todas putas menos mi madre y mi hermana”?
No tiene gracia, ninguna gracia, Don Antonio. Y le retrata, que es lo peor.