lunes, 17 de enero de 2011

Canson D´amour. The Manhattan Transfer



Chanson damour, ra da da da da, play encore.
Here in my heart, ra da da da da, more and more.

Chanson damour, ra da da da da, je tadore.
Each time I hear, ra da da da da, chanson, chanson, damour.

(sax solo)
Ra da da da da
(sax solo)
Ra da da da da

Chanson damour, ra da da da da, je tadore.
Each time I hear, ra da da da da, chanson, chanson, damour.

Every time I hear
Chanson, chanson, damour.

De: http://www.quedeletras.com/letra-cancion-chanson-d-amour-manhattan-transfer-bajar-90952/disco-mira-quien-baila/recopilatorios-2007-chanson-d-amour-manhattan-transfer.html

Acerca de Manhattan Transfer: http://www.apoloybaco.com/manhattantransferbiografia.htm

sábado, 15 de enero de 2011

Vienen los rojos

Enlace con la carta publicada en la pág. 28 de El País, el sábado 15-I-11:

http://www.elpais.com/articulo/opinion/Vienen/rojos/elpepuopi/20110115elpepiopi_9/Tes

Des Chatons Dans un Panier.Guillaume Aldebert




Des Chatons Dans Un Panier

Moi j'y crois
Et je t'idéalise
Je recherche un endroit où poser mes valises
Toi et moi révisons l'ordinaire
En triplex à Montmartre avec vue sur la mer
Comme dans un clip de R'n'B je porte un manteau de fourrure,
Devant des mannequins en maillot qui lavent une grosse voiture

Le bonheur c'est arriver à désirer ce qu'on a déjà
C'est du vent dans la prose
Du temps qui prend la pause, c'est du chagrin qui se repose,

Sûre de toi, moi dans le doute,
A cherche l'équilibre on ne peut plus délicat,
Sur le toit, ou dans la soute,
Entre ce que l'on est et ce que l'on a,
Je rêve, d'une épopée hollywoodienne,sous une pluie de tirs automatiques,
Je sauve la Terre, et te ramène chez nous en Amérique,

Le bonheur c'est arriver à désirer ce qu'on a déjà
C'est du vent dans la prose
Du temps qui prend la pause, c'est du chagrin qui se repose,

Chercher un vain Byzance,
La Félicité suprême impossible,
Il nous reste l'imagerie d'aisance des paradis disponibles,
A passer sans nuages une beauté diaphane,
Les biches de Walt Disney,
Quelques violons Tziganes,
Un pied déjà dans la tombe, compte à rebours en bandoulière,
Vivre chaque seconde comme si c'était la première,
Que l'on nous jette une bouée pour nager dans les câlins,
Là où l'on a pas pieds mon Amélie Poulain,
Sans décor en carton, comme ce calendrier,

Des chatons dans un panier, des chatons dans un panier,

C'est du chagrin qui se repose,
Voit comme quoi, on est si mal que ça, tous les deux dans ton pull allongés sous les toits,
Petite soeur, le bonheur est partout,
Pourquoi chercher ailleurs, ce que l'on a en nous?

Le bonheur c'est arriver à désirer ce qu'on a déjà
C'est du vent dans la prose
Du temps, du temps, qui prend la pause,
c'est du chagrin qui se repose...

De: Des Chatons Dans Un PanierMoi j'y crois
Et je t'idéalise
Je recherche un endroit où poser mes valises
Toi et moi révisons l'ordinaire
En triplex à Montmartre avec vue sur la mer
Comme dans un clip de R'n'B je porte un manteau de fourrure,
Devant des mannequins en maillot qui lavent une grosse voiture

Le bonheur c'est arriver à désirer ce qu'on a déjà
C'est du vent dans la prose
Du temps qui prend la pause, c'est du chagrin qui se repose,

Sûre de toi, moi dans le doute,
A cherche l'équilibre on ne peut plus délicat,
Sur le toit, ou dans la soute,
Entre ce que l'on est et ce que l'on a,
Je rêve, d'une épopée hollywoodienne,sous une pluie de tirs automatiques,
Je sauve la Terre, et te ramène chez nous en Amérique,

Le bonheur c'est arriver à désirer ce qu'on a déjà
C'est du vent dans la prose
Du temps qui prend la pause, c'est du chagrin qui se repose,

Chercher un vain Byzance,
La Félicité suprême impossible,
Il nous reste l'imagerie d'aisance des paradis disponibles,
A passer sans nuages une beauté diaphane,
Les biches de Walt Disney,
Quelques violons Tziganes,
Un pied déjà dans la tombe, compte à rebours en bandoulière,
Vivre chaque seconde comme si c'était la première,
Que l'on nous jette une bouée pour nager dans les câlins,
Là où l'on a pas pieds mon Amélie Poulain,
Sans décor en carton, comme ce calendrier,

Des chatons dans un panier, des chatons dans un panier,

C'est du chagrin qui se repose,
Voit comme quoi, on est si mal que ça, tous les deux dans ton pull allongés sous les toits,
Petite soeur, le bonheur est partout,
Pourquoi chercher ailleurs, ce que l'on a en nous?

Le bonheur c'est arriver à désirer ce qu'on a déjà
C'est du vent dans la prose
Du temps, du temps, qui prend la pause,
c'est du chagrin qui se repose...

De: Des Chatons Dans Un PanierMoi j'y crois
Et je t'idéalise
Je recherche un endroit où poser mes valises
Toi et moi révisons l'ordinaire
En triplex à Montmartre avec vue sur la mer
Comme dans un clip de R'n'B je porte un manteau de fourrure,
Devant des mannequins en maillot qui lavent une grosse voiture

Le bonheur c'est arriver à désirer ce qu'on a déjà
C'est du vent dans la prose
Du temps qui prend la pause, c'est du chagrin qui se repose,

Sûre de toi, moi dans le doute,
A cherche l'équilibre on ne peut plus délicat,
Sur le toit, ou dans la soute,
Entre ce que l'on est et ce que l'on a,
Je rêve, d'une épopée hollywoodienne,sous une pluie de tirs automatiques,
Je sauve la Terre, et te ramène chez nous en Amérique,

Le bonheur c'est arriver à désirer ce qu'on a déjà
C'est du vent dans la prose
Du temps qui prend la pause, c'est du chagrin qui se repose,

Chercher un vain Byzance,
La Félicité suprême impossible,
Il nous reste l'imagerie d'aisance des paradis disponibles,
A passer sans nuages une beauté diaphane,
Les biches de Walt Disney,
Quelques violons Tziganes,
Un pied déjà dans la tombe, compte à rebours en bandoulière,
Vivre chaque seconde comme si c'était la première,
Que l'on nous jette une bouée pour nager dans les câlins,
Là où l'on a pas pieds mon Amélie Poulain,
Sans décor en carton, comme ce calendrier,

Des chatons dans un panier, des chatons dans un panier,

C'est du chagrin qui se repose,
Voit comme quoi, on est si mal que ça, tous les deux dans ton pull allongés sous les toits,
Petite soeur, le bonheur est partout,
Pourquoi chercher ailleurs, ce que l'on a en nous?

Le bonheur c'est arriver à désirer ce qu'on a déjà
C'est du vent dans la prose
Du temps, du temps, qui prend la pause,
c'est du chagrin qui se repose...

De: Des Chatons Dans Un PanierMoi j'y crois
Et je t'idéalise
Je recherche un endroit où poser mes valises
Toi et moi révisons l'ordinaire
En triplex à Montmartre avec vue sur la mer
Comme dans un clip de R'n'B je porte un manteau de fourrure,
Devant des mannequins en maillot qui lavent une grosse voiture

Le bonheur c'est arriver à désirer ce qu'on a déjà
C'est du vent dans la prose
Du temps qui prend la pause, c'est du chagrin qui se repose,

Sûre de toi, moi dans le doute,
A cherche l'équilibre on ne peut plus délicat,
Sur le toit, ou dans la soute,
Entre ce que l'on est et ce que l'on a,
Je rêve, d'une épopée hollywoodienne,sous une pluie de tirs automatiques,
Je sauve la Terre, et te ramène chez nous en Amérique,

Le bonheur c'est arriver à désirer ce qu'on a déjà
C'est du vent dans la prose
Du temps qui prend la pause, c'est du chagrin qui se repose,

Chercher un vain Byzance,
La Félicité suprême impossible,
Il nous reste l'imagerie d'aisance des paradis disponibles,
A passer sans nuages une beauté diaphane,
Les biches de Walt Disney,
Quelques violons Tziganes,
Un pied déjà dans la tombe, compte à rebours en bandoulière,
Vivre chaque seconde comme si c'était la première,
Que l'on nous jette une bouée pour nager dans les câlins,
Là où l'on a pas pieds mon Amélie Poulain,
Sans décor en carton, comme ce calendrier,

Des chatons dans un panier, des chatons dans un panier,

C'est du chagrin qui se repose,
Voit comme quoi, on est si mal que ça, tous les deux dans ton pull allongés sous les toits,
Petite soeur, le bonheur est partout,
Pourquoi chercher ailleurs, ce que l'on a en nous?

Le bonheur c'est arriver à désirer ce qu'on a déjà
C'est du vent dans la prose
Du temps, du temps, qui prend la pause,
c'est du chagrin qui se repose...

De: http://musique.ados.fr/Aldebert/Des-Chatons-Dans-Un-Panier-t109955.html

Acerca de Guillaume Aldebert: http://fr.wikipedia.org/wiki/Guillaume_Aldebert

viernes, 14 de enero de 2011

Serenade in blue. Glenn Miller

Canta Lynn Bari




Serenade In Blue
Glenn Miller

When I hear that Serenade in blue
I'm somewhere in another world, alone with you
Sharing all the joys we used to know
Many moons ago

Once again your face comes back to me
Just like the theme of some forgotten melody
In the album of my memory
Serenade in blue

It seems like only yesterday
The small cafe, a crowded floor
And as we danced the night away
I hear you say forever more
And then the song became a sigh
Forever more became goodbye
Cause you remianed in my heart, but

Tell me darling in there still a spark?
Or only lonely ashes of the flame we knew
Should I go on whistling in the dark,
Serenade in blue

Bill Ball
billball
hotmail.com

De: http://www.lyricsdepot.com/glenn-miller/serenade-in-blue.html

Acerca de Lynn Bari: http://en.wikipedia.org/wiki/Lynn_Bari

Acerca de Glenn Miller: http://www.lyricsdepot.com/glenn-miller/serenade-in-blue.html

martes, 11 de enero de 2011

¿Cuánto cuesta ser amable?

Ni un euro nos cuesta dar las gracias al camarero que nos atiende en un restaurante o a la dependienta que nos busca la talla de pantalón. Sí, es su trabajo, pero no son nuestros esclavos. A menudo veo gente que por el hecho de que alguien le “sirva” cree que ya es motivo para hablarle con desprecio y altivez. Nunca he tenido que servir mesas ni trabajar en un comercio, pero por varios amigos sé que no es un trabajo fácil y que a veces dan ganas de matar al que inventó la frase de que el cliente siempre tiene la razón. ¿Tanto nos incomoda ser amables? Prueben a no ignorarlos cuando traen las cañas, a sonreír a la chica de la franquicia de moda que se pasa el día doblando las mismas camisetas para que cada dos por tres una marabunta de adolescentes le destroce la ropa que acaba de apilar. Lo agradecen de verdad. Con la bandeja en la mano y tras la caja registradora no se ve todo igual; hay que soportar a maleducadas, impertinentes, impacientes y sabelotodos. Una sonrisa y un gracias puede alegrarle a alguien el día. Y es gratis.

Isabel Lara. Redactora
Publicado en la pág. 2 de La Opinión de Murcia, el lunes 10-I-11



lunes, 10 de enero de 2011

Fumadores maltratadores

Al sanear una charca, aparecen
en el fango seres dañinos
para nuestra salud que demuestran
la necesidad de esa
limpieza. En modo parecido, la
reformada ley antitabaquismo
está revelando su necesidad,
al revolverse indignada esa pequeña
pero muy dañina minoría
de fumadores que no sólo
va a poder seguir dañando su
propia salud con toda libertad,
sino que pretende seguir dañando
también la salud del
prójimo. Así el energúmeno
que tuvo que ser detenido por
agredir a quienes le advirtieron
que no podía fumar en un
hospital. O el que hirió al dueño
de un bar extremeño que
le recordó que allí no podía fumar.
Oel propietario de un restaurante
marbellí que vocea
que quiere emigrar porque en
España ya no hay libertad. En
efecto, ya no se puedemaltratar
como antes a su perro, a su
mujer, ni a su cliente. ¡Buen viaje
y pobre del país que lo reciba!

Martín Sagrera.

Carta publicada en la pág. 17 de 20 minutos, el lunes 10-I-11

jueves, 6 de enero de 2011

Una dura competición (de obispos)

Enlace con el artículo publicado en la pág. 26 el diario El PAÍS, el domingo 6-I-11:

http://www.elpais.com/articulo/opinion/dura/competicion/elpepiopi/20110106elpepiopi_3/Tes

Qué país...

El alcalde de Valladolid, Javier León de la Riva, en lugar de mostrarse contrito por lo que dijo de Leire Pajín –“cuando veo sus morritos sólo pienso en una cosa”- y esperar a que nos olvidemos de semejante burrada, ha dicho que no cree que eso pueda restarle votos, sino todo lo contrario. Lo triste es que puede que esté en lo cierto.
“Qué país, qué paisaje, qué paisanaje" (Miguel de Unamuno en el periódico Ahora de 22 de Agosto de 1.933)

Francisco Bernabé Roca 28-XII-10
Publicado en La Verdad de Murcia, el martes 11-I-11

domingo, 2 de enero de 2011

Los obispos llaman a la reconquista

"España es una viña devastada por los jabalies del laicismo" ha declarado Benedicto XVI.
¡Joé! declaro yo.

Obispollo. Maruja Torres

Enlace con el artículo publicado en la última página de el diario El País, el jueves 30 de diciembre:
http://www.elpais.com/articulo/ultima/Obispollo/elpepiult/20101230elpepiult_1/Tes

sábado, 1 de enero de 2011

As Time Goes By. Billie Holiday



AS TIME GOES BY
(Theme from Casablanca)
by Frank Sinatra

You must remember this:
A kiss is still a kiss,
A sigh is just a sigh.
The fundamental things apply
As time goes by.

And when two lovers woo
They still say: 'I love you'.
On that you can rely,
No matter what the future brings,
As time goes by.

Moonlight and love songs,
Never out of date.
Hearts full of passion,
Jealousy and hate.
Woman needs man,
And man must have his mate.
That, no one can deny.

It's still the same old story,
A fight for love and glory,
A case of do or die.
The world will always
Welcome lovers
As time goes by. A MEDIDA QUE PASA EL TIEMPO
(Tema de Casablanca)
por Frank Sinatra

Debes recordar esto:
Un beso es aún un beso,
Un suspiro es sólo un suspiro.
Las cosas fundamentales se aplican
A medida que pasa el tiempo.

Y cuando dos amantes se comprometen
Aún dicen: 'Te amo'.
En eso puedes confiar,
No importa lo que el futuro trae,
A medida que pasa el tiempo.

La luz de la luna y las canciones de amor,
Nunca están pasadas de moda.
Los corazones llenos de pasión,
Celos y odio.
La mujer necesita del hombre,
Y el hombre debe tener su compañera.
Eso, nadie lo puede negar.

Es aún la misma vieja historia,
Una lucha por el amor y la gloria,
Un caso de hacer o morir.
El mundo siempre dará la
Bienvenida a los amantes
A medida que pasa el tiempo.
to go by pasar. 'Time goes by' significa 'El tiempo pasa'. 'As time goes by' es 'A medida que pasa el tiempo'.
still todavía, aún
sigh suspiro. El verbo to sigh es suspirar.
to woo comprometerse (para casarse)
to rely on something confiar en algo. Note el uso de la preposición on.
no matter no importa, no interesa
to bring traer
moonlight la luz de la luna
to be out of date estar fuera de fecha, pasado
jealousy celos. Estar celoso se dice to be jealous.
hate odio. El verbo to hate significa odiar.
mate compañero. Un compañero de clase se dice classmate. Un compañero de cuarto se dice roommate.
no one nadie
to deny something negar algo
fight lucha. El verbo to fight es luchar.
case caso
do or die hacer o morir

De: http://www.saberingles.com.ar/songs/77.html

Acerca de Billie Holyday: http://es.wikipedia.org/wiki/Billie_Holiday

viernes, 31 de diciembre de 2010

El Mundo y el pañuelo

No es cierto que el Mundo sea un pañuelo.

martes, 28 de diciembre de 2010

El jamón y el crucifijo

Sigo con interés día a día en la segunda página de este periódico (La Opinión de Murcia) las columnas que con el título genérico BUENOS DÍAS, escriben varias personas de este medio. En todas he encontrado, hasta ahora, interesantes reflexiones sobre temas de actualidad no exentas, cuando procedía, de algún rasgo de humor. Por tanto, enhorabuena.
Hoy tengo que mostrarme menos complaciente porque la redactora Ana García en su artículo del viernes día 24, titulado Ofensores y ofendidos, nos habla del disparate que supone que un niño musulmán haya denunciado a su profesor por hablar del jamón en clase. Hasta ahí de acuerdo. Afortunadamente en este país tenemos unas leyes garantistas que nos protegen de quienes quieren utilizar las normas –no sólo los musulmanes- para exigir de forma torticera respeto a sus ideas religiosas. En defensa del profesor, el fiscal del caso ha pedido el sobreseimiento de la causa por considerar que “es una postura caprichosa, abusiva, sectaria e inadmisible”, añadiendo que “la jurisdicción penal es algo más serio y su utilización no puede quedar a capricho de nadie, cuando no existe justificación jurídica para ello” (Pág. 50 de este periódico de la fecha citada).
Por tanto, la periodista debe quedar tranquila porque, aunque la libertad de expresión es un derecho de las personas, cualquier dislate como el del caso que nos ocupa no tendrá mucho recorrido.
Ahora bien no debe aprovechar para volver con la cuestión de los crucifijos en los colegios y para contarnos que se están retirando de las capillas de algunos hospitales. En los colegios de titularidad pública asisten estudiantes de distintas creencias religiosas, y no se debe imponer un determinado símbolo religioso por mayoritario que sea el grupo que quiera tenerlo. En cuanto al espacio que en hospitales y tanatorios se dedica a cualquier celebración, debería ser un espacio neutro en el que las personas que la patrocinen, determinen que símbolos o distintivos quieren colocar.

No quiero acabar sin hacer referencia a la humorada de la periodista cuando dice que acabaremos orientando las capillas hacia la Meca. Perdóneme Ana, pero me parece que eso es sacar los pies del tiesto.

Francisco Bernabé Roca 25-XII-10
Publicado en la pág 19 de La Opinión de Murcia de 29-XII-10


.

sábado, 25 de diciembre de 2010

Injusticia

Tomar partido ante la injusticia nos hace humanos

domingo, 19 de diciembre de 2010

Viñeta de Forges

Publicada en la pág. 37 de El País del domingo 19-12-10.

lunes, 13 de diciembre de 2010

La salvajada de los controladores aéreos

La acción acometida recientemente por los controladores aéreos no la podemos calificar como huelga, porque la huelga es un derecho conquistado por los trabajadores que ha costado mucho sufrimiento, cárcel e incluso muertes. Es un derecho regulado por las leyes oportunas aprobadas en el Parlamento, que tiene ciertas servidumbres como no recibir salario cada día no trabajado. Ellos, con alegar unas sospechosas enfermedades colectivas, han querido jugar con ventaja, incurriendo probablemente en fraude de ley. Serán los jueces los que determinen las responsabilidades en las que pudieran haber incurrido.

Para poner freno al caos derivado del abandono del servicio de los controladores, el gobierno de la nación decretó el estado de alarma y posteriormente ha comparecido en el Congreso de los Diputados para explicar la oportunidad de la medida. Después de la intervención del Presidente del gobierno, Rajoy condenó duramente la postura de los controladores –no era para menos- pero a continuación se permitió el siguiente chascarrillo: “el Ministro de Fomento es un inútil y un caradura”. Aplausos de los suyos y protestas airadas de la bancada socialista. Continúa: “esto lo dijo el Sr. Pérez Rubalcaba de un ministro de fomento popular; yo no digo estas cosas”. ¡Alma bendita! ¿Qué clase de juego de palabras es éste? Frivolidades las justas, que se estaba debatiendo un problema muy serio.

En algo se parecen los controladores y Rajoy: tiran la piedra y esconden la mano.

Francisco Bernabé Roca 9-XII-10
Publicada en la pág 29 de La Verdad de Murcia de 16-XII-10

miércoles, 8 de diciembre de 2010

30 años de la muerte de John Lennon



ARTISTA: JOHN LENNON
LETRA: IMAGINE
TRADUCCION: IMAGINATE

DISCO: -
ENVIADA POR: (O_o) (oasispy@gmail.com)
FECHA: 2005-11-08 00:00:00 - 55


IMAGINE THERE´S NO HEAVEN
IT´S EASY IF YOU TRY
NO HELL BELOW US
ABOVE US ONLY SKY
IMAGINE ALL THE PEOPLE
LIVING FOR TODAY...
IMAGINE THERE´S NO COUNTRIES
IT ISN´T HARD TO DO
NOTHING TO KILL OR DIE FOR
AND NO RELIGION TOO
IMAGINE ALL THE PEOPLE
LIVING LIFE IN PEACE...
Letras4U.com » letras traducidas al español
YOU MAY SAY I´M A DREAMER
BUT I´M NOT THE ONLY ONE
I HOPE SOMEDAY YOU´LL JOIN US
AND THE WORLD WILL BE AS ONE
IMAGINE NO POSSESSIONS
I WONDER IF YOU CAN
NO NEED FOR GREED OR HUNGER
A BROTHERHOOD OF MAN
IMAGINE ALL THE PEOPLE
SHARING ALL THE WORLD...
YOU MAY SAY I´M A DREAMER
BUT I´M NOT THE ONLY ONE
I HOPE SOMEDAY YOU´LL JOIN US
AND THE WORLD WILL LIVE AS ONE


IMAGINA QUE NO EXISTE EL CIELO,
ES FÁCIL SI LO INTENTAS,
SIN EL INFIERNO DEBAJO NUESTRO,
ARRIBA NUESTRO, SOLO EL CIELO.
IMAGINA A TODA LA GENTE
VIVIENDO EL HOY...
IMAGINA QUE NO HAY PAÍSES,
NO ES DIFÍCIL DE HACER,
NADIE POR QUIEN MATAR O MORIR,
NI TAMPOCO RELIGIÓN,
Letras4U.com » letras traducidas al español
IMAGINA A TODA LA GENTE,
VIVIENDO LA VIDA EN PAZ...
IMAGINA QUE NO HAY POSESIONES,
QUISIERA SABER SI PUEDES,
SIN NECESIDAD DE GULA O HAMBRE,
UNA HERMANDAD DE HOMBRES,
IMAGÍNATE A TODA LA GENTE
COMPARTIENDO EL MUNDO
PUEDES DECIR QUE SOY UN SOÑADOR,
PERO NO SOY EL ÚNICO,
ESPERO QUE ALGÚN DÍA TE UNAS A NOSOTROS
Y EL MUNDO VIVIRÁ COMO UNO

De: http://www.letras4u.com/john_lennon/imagine.htm

Acerca de John Lennon: http://es.wikipedia.org/wiki/John_Lennon

lunes, 6 de diciembre de 2010

Ne me quitte pas. Jacques Brel


Brel Jacques - Ne me quitte pas
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Ne me quitte pas
by Jacques Brel


Ne me quitte pas
Il faut oublier
Tout peut s'oublier
Qui s'enfuit déjà
Oublier le temps
Des malentendus
Et le temps perdu
A savoir comment
Oublier ces heures
Qui tuaient parfois
A coups de pourquoi
Le cœur du bonheur
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas

Moi je t'offrirai
Des perles de pluie
Venues de pays
Où il ne pleut pas
Je creuserai la terre
Jusqu'après ma mort
Pour couvrir ton corps
D'or et de lumière
Je ferai un domaine
Où l'amour sera roi
Où l'amour sera loi
Où tu seras reine
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas

Ne me quitte pas
Je t'inventerai
Des mots insensés
Que tu comprendras
Je te parlerai
De ces amants-là
Qui ont vu deux fois
Leurs cœurs s'embraser
Je te raconterai
L'histoire de ce roi
Mort de n'avoir pas
Pu te rencontrer
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas

On a vu souvent
Rejaillir le feu
De l'ancien volcan
Qu'on croyait trop vieux
Il est paraît-il
Des terres brûlées
Donnant plus de blé
Qu'un meilleur avril
Et quand vient le soir
Pour qu'un ciel flamboie
Le rouge et le noir
Ne s'épousent-ils pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas

Ne me quitte pas
Je n'vais plus pleurer
Je n'vais plus parler
Je me cacherai là
A te regarder
Danser et sourire
Et à t'écouter
Chanter et puis rire
Laisse-moi devenir
L'ombre de ton ombre
L'ombre de ta main
L'ombre de ton chien
Mais
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas.

De: http://fr.lyrics-copy.com/jacques-brel/ne-me-quitte-pas.htm

Acerca de Jacques Brel: http://fr.lyrics-copy.com/jacques-brel/ne-me-quitte-pas.htm

viernes, 3 de diciembre de 2010

Woody Allen, según Carlos Boyero

"Woody Allen, es una de las mejores cosas que le ha pasado al siglo XX".

Lo ha dicho esta mañana Carlos Boyero en el programa Hoy por Hoy de la Cadena SER.

Acerca de Woody Allen: http://es.wikipedia.org/wiki/Woody_Allen

Acerca de Carlos Boyero: http://es.wikipedia.org/wiki/Carlos_Boyero

sábado, 27 de noviembre de 2010

El silencio de los buenos

Lo que más me preocupa no es la maldad de los malos, sino el silencio de los buenos.

Martin Luther King

Acerca de Martin Luther King: http://es.wikipedia.org/wiki/Martin_Luther_King

viernes, 26 de noviembre de 2010

María la portuguesa. Carlos Cano



En las noches de luna y clavel
de Ayamonte hasta Villareal
sin rumbo por el rio, entre suspiros
una canción viene y vá
Que la canta María
al querer de un andaluz.
María es la alegría, y es la agonía
que tiene el sur.

Que conoció a ese hombre
en una noche de vino verde y calor
y entre palmas y fandangos
la fue enredando, le trastornó el corazón.
Y en las playas de isla
se perdieron los dos
donde rompen las olas, besó su boca
y se entregó.

Ay, María la portugesa
desde Ayamonte hasta Faro
se oye este fado por las tabernas
donde bebe viño amargo
porque canta con tristeza
porque esos ojos cerrados
por un amor desgraciado,
por eso canta, por eso pena.

¡Fado! fado porque me faltan tus ojos
¡Fado! porque me falta tu boca
¡Fado! porque se fue por el rio
¡Fado! porque se va con la sombra

Dicen que fue el te quiero
de un marinero, razón de su padecer
que en una noche en los barcos
de contrabando, p'al langostino se fue.
Y en las sombras del rio,
un disparo sonó.
Y de aquel sufrimiento, nació el lamento
de esta canción.

De: http://www.sitiodeletras.com/mostrar.php?lid=5266&artista=Carlos%20Cano&titulo=Maria%20La%20Portuguesa

Acerca de Carlos Cano: http://www.sitiodeletras.com/mostrar.php?lid=5266&artista=Carlos%20Cano&titulo=Maria%20La%20Portuguesa




jueves, 25 de noviembre de 2010

Esta vida loca. Francisco Céspedes



porque tu me faltas,
quiero darle al alma,
el consuelo que le falta.
porque el pensamiento,
no le gana al tiempo,
y al sentido que me mata.

y auque estes adentro
y este sentimiento
se me antoje eterno
esta lejania duele cada dia
porque no te tengo

no tengo tu boca
no tengo tus ganas
y por mas que intento
ya no entiendo nada

ella y yo
ella y yo

y auque estes adentro
y este sentimiento
se me antoje eterno
esta lejania duele cada dia
porque no te tengo

no tengo tu boca
no tengo tus ganas
y por mas que intento
ya no entiendo nada

de esta vida loca, loca, loca
y de su loca realidad
que se ha vuelto loca, loca, loca
por buscar otro lugar

pero le provoca este sufrimiento
y no me abandona
porque a mi me toca
esta vida loca

y auque estes adentro
y este sentimiento
se me antoje eterno
esta lejania duele cada dia
porque no te tengo

no tengo tu boca
no tengo tus ganas
y por mas que intento
ya no entiendo nada

de esta vida loca, loca, loca
y de su loca realidad
que se ha vuelto loca, loca, loca
por buscar otro lugar

pero le provoca este sufrimiento
y no me abandona
porque a mi me toca
esta vida loca
loca, loca como yo
vida loca
y es que a mi me toca
esta vida loca

esta vida loca, loca, loca
y de su loca realidad
que se ha vuelto loca, loca, loca
por buscar otro lugar

pero le provoca este sufrimiento
y no me abandona
porque a mi me toca
esta vida loca
loca, loca como yo
vida loca
y es que a mi me toca
esta vida loca

Francisco Céspedes

Letra añadida por Horacio Valdivia

De: http://www.musica.com/letras.asp?letra=963995

Acerca de Francisco Céspedes:

http://es.wikipedia.org/wiki/Francisco_C%C3%A9spedes

domingo, 21 de noviembre de 2010

Más sobre Mitología Rosa

En una carta aparecida en la pág 21 de este periódico 17-XI-10, SOBRE EL ARTÍCULO “MITOLOGÍA ROSA”, un lector critica con un estilo que él censura a los demás, un artículo, MITOLOGÍA ROSA(15-XI-10) de la periodista – adviértase que la palabra no está entrecomillada, como hace el autor de la carta- Gema Panalés Lorca, por establecer un paralelismo entre los héroes mitológicos clásicos y los que la prensa rosa, con ayuda de cientos de lectores desculturizados, ha elevado a un falso Olimpo.
Si el censor hubiera hecho una lectura más atenta del artículo citado, habría percibido el tono de parodia en el que está escrito: “Las peligrosas experiencias psicotrópicas de Ulises guardan un interesante parecido con las desenfrenadas fiestas de Amy Winehouse en Camden Town". Este fragmento y otros, hecha por tierra la acusación de la falta de cultura de Gema. Otro fragmento que abunda en mi tesis: “Quizás dentro de 2.000 años la Mitología Rosa sea una asignatura más en los institutos. Si eso ocurre, aprovecho la ocasión para avisar a los estudiantes del futuro de que el tema de La Pantoja cae fijo en el examen”
Con una lectura literal hasta se habría acusado a Cervantes por fomentar la afición de los libros de caballería al escribir EL QUIJOTE, cuando sabemos que su intención fue la opuesta, hacer una llamada de atención a una sociedad que estaba ensimismada por unos falsos héroes.
No es de recibo que una persona que acusa a otras de falta de ética, quiera asegurarse la publicación de su carta, lanzándole a la directora del periódico el siguiente grosero desafío: “Ahora, si tiene lo que tiene que tener publique mi carta…”
En sus siguientes artículos, Gema Panalés debería tener más cuidado en el manejo de sus ironías, porque el personal no está para estas delicatessen. Ahora bien, cuidado con las precauciones que le recomiendo, porque no hay nada más castrante que la autocensura.

Francisco Bernabé Roca 19-XI-10
Publicado en la pág. 24 de La Opinión de Murcia de 21-XI-10

miércoles, 17 de noviembre de 2010

Carta aparecida en Publico el 17-XI-10

Berlanga, Azcona y viceversa
Se fue el cineasta Rafael Azcona y, ahora, su compañero Luis García Berlanga, pero antes han tenido el detalle de dejarnos sus testamentos llenos de inmortales. Entre ellos, veo a José Luis, el suegro de Amadeo, el verdugo; a Plácido en su motocarro; a Loli y Leonardo de novios por la Costa Brava; al alcalde de Villar del Río; al profesor Hamilton, el sabio de Calabuch; a San Dimas haciendo milagros todos los jueves en Fuentecilla; y al padre Calvo, gritándole a Luis José aquello de “¡Lo que yo he unido en la tierra no lo separa ni Dios en el cielo!”.
Para los que crecimos entre rezos y marchas militares, en aquellos años de mediocridad intelectual y miseria moral, las películas de Azcona y Berlanga actuaban en nosotros como fármacos protectores contra la estupidez oficial. Después de cada carcajada, notábamos la mejoría.
Enrique Chicote Serna/ Arganda del rey (Madrid)

martes, 16 de noviembre de 2010

¿Laicismo radical?

El cardenal Cañizares, haciéndose eco de las palabras del Papa en su reciente visita a España, ha dicho que en este país impera un laicismo radical. Cuando alguien sabe que sus palabras van a llegar a muchas personas, convendría que consultara el significado de las mismas. Según el diccionario de la RAE, laicismo es ”la doctrina que defiende la independencia del hombre o la sociedad, y más particularmente del Estado, respecto de cualquier organización o confesión religiosa”; radical: “partidario de reformas extremas, especialmente en sentido democrático”, también, “intransigente con lo que no se cree justo”.
Teniendo en cuenta las anteriores definiciones, dadas por la autoridad competente, no quiero ofender a quien esté leyendo estas líneas explicando por qué no hay nada censurable en las personas partidarias de un laicismo radical.
Como Cañizares y el Papa han utilizado la expresión comentada dándole el valor de una conducta reprobable, mi duda es si la han empleado sin conocer su significado, incurriendo en una grave irresponsabilidad o conociéndolo, han querido manipular a las gentes que los tienen por hombres justos.

Francisco Bernabé Roca 14-XI-10
Publicado con la supresión del último párrafo, en la pág. 27 de La Verdad de Murcia de16-XI-10, y en la pág. 16 de La Opinión de Murcia de 18-XI-10.

lunes, 15 de noviembre de 2010

El sueño de la maestra

Cortometraje de Luis García Berlanga

Time After Time. 12 intérpretes

Frank Sinatra



Margaret Whiting sobre imágenes de Amy Adams



Ella Fitzgerald



Sarah Vaughn



Kathryn Grayson



June Fermie



Chet Baker



Jule Styn



Rod Stewart



Al Martino



Inga Kaare



Sammy Cahn

martes, 9 de noviembre de 2010

No más leísmos, por favor

Definición de leísmo, dada por la Real Academia Española de la Lengua: Empleo de la forma le y, con menos frecuencia les, de él en el acusativo masculino singular o plural cuando el pronombre representa a personas.
Desde hace algunos años, en estas mismas páginas, he visto publicadas varias cartas mías sobre el uso de una falta muy común, el leísmo, entre ellas: La invasión de los leísmos, El leísmo que no cesa, y Comas y leísmos. En todas comenté algunas de estas incorrecciones que señala la RAE, cometidas en este periódico. Como el error se viene cometiendo con harta frecuencia –y no sólamente en este medio- mención aparte merecerían los laísmos, me permito señalar tres seguidos que pudimos observar en la pág. 16 de La Opinión de Murcia, el sábado, día 30 de octubre. Rosa Peñalver, del Ministerio de Educación, en su a modo de agenda semanal, describiendo las instrucciones que para torturar reciben las tropas británicas y estadounidenses, anota: “…la asfixia, no dejarles dormir, mantenerles desnudos, desorientarles, provocarles miedo…”. Todas las palabras con terminaciones –les se escriben correctamente con terminaciones –los, excepto la última –provocarles- que está bien escrita.
Claro, que todo esto pasa a segundo plano cuando los paladines de la Civilización Occidental, Reino Unido y Estados Unidos, muestran tan poco respeto por los derechos humanos más elementales.
Pero, por favor, no más leísmos.

Francisco Bernabé Roca 4-XI-10
Publicada en lapág. 9 de La Opinión de Murcia, el 12-XI-10

sábado, 6 de noviembre de 2010

A propósito de la gesta sexual de Sánchez Dragó

Carta aparecida en la pág. 28 de ELPAÍS de 6-XI-10

El turismo sexual

ELENA PUEYO (Miembro de Esclavitud XXI)

Qué es turismo sexual? Son turistas que consumen personas esclavas para su propio placer.
No somos muy conscientes de esto, pero es este consumo lo que hace que miles de niñas desde los cinco años o antes sean brutalmente violadas. En Camboya son los propios camboyanos los que esclavizan a sus niñas, niños y mujeres.
Pero la responsabilidad mayor recae en la demanda de los países ricos, mayormente de países europeos, Estados Unidos y otros. Hay agencias de viajes que venden más porque promocionan estos servicios en sus hoteles y la demanda es tan atroz que un ser humano vale menos que un vaquero de 30 euros. Hoy en día puedes comprar a una persona por este precio. La demanda es la principal culpable de esta deshumanización sin precedentes en este siglo actual.
La prostitución forzada o esclavitud y la pedofilia tienen muchos cómplices, cualquiera que de alguna manera alimenta la industria del sexo.

viernes, 5 de noviembre de 2010

La cumbre del macho ibérico

Hoy es un día histórico. Ustedes aún no lo saben, pero, en estos momentos, se está celebrando la primera Cumbre del Macho Ibérico de la humanidad. Se trata de un encuentro de primer orden en la esfera política y cultural internacional que sentará las bases de una nueva era en la que la supremacía del macho ibérico quedará regulada en el primer documento oficial, que velará por la supervivencia de esta raza en peligro de extinción.

Tras una ardua deliberación, el lobby del colectivo machuno ha elegido a cuatro representantes cuyos cojones harían temblar de miedo al mismísimo Chuck Norris. De un lado, los ideólogos políticos del movimiento: el excelentísimo alcalde de Valladolid, don Javier León de la Riva y el diputado por el PSOE en el Congreso y ex vicepresidente del Gobierno Alfonso Guerra. De otro lado, la ilustre esfera cultural patria: el doctor en Letras, contertulio y periodista de Telemadrid, Fernando Sánchez Dragó, y el ex reportero de guerra, escritor y académico de la Real Academia de la Lengua Arturo Pérez Reverte.

Ideologías enfrentadas bajo un denominador común: la patanería de pelo en pecho, es decir, el toma y daca de la testosterona venida a menos por la pitopausia. La sesión la abre el alcalde de Valladolid:

LEÓN DE LA RIVA: Venga, coño, vamos al lío, que esto lo cerramos hoy. No quiero mariconadas de última hora.

GUERRA: Usted lo que quiere es meterla en caliente, cabrón. Pero ya sabe que estos dos se la cogen con papel de fumar.

PÉREZ REVERTE: Joder, don Alfonso. ¿Es que su señora no le ha dado una alegría esta mañana? Mire que antes de cerrar esta clase de acuerdos uno tiene que venir aliviado de casa. Si no, no hay manera.

GUERRA: No me toque los huevos, don Arturo, que lo mismo, cuando terminemos, me paso por su casa.

SÁNCHEZ DRAGÓ: Caballeros, lo que está claro es que no vamos a tragar. El lobby feminista va por ahí calentando al personal y nos la quiere meter doblada… Y para huevos, los nuestros, ¡joder!

LEÓN DE LA RIVA: Ya lo que clama al cielo es lo de la ministra de Sanidad y Política Social, la Leire Pajín, ¿verdad? que es una chica preparadísima, hábil, discreta… que va repartir condones a diestro y siniestro por donde quiera que vaya y que va a ser la alegría de la huerta. Yo tengo que decir que cada vez que la veo la cara (sic) y esos morritos pienso lo mismo, pero no lo voy a contar aquí.

SÁNCHEZ DRAGÓ: ´Chica´, ´discreta´, ´condones´, ´morritos´... Por el campo semántico, se diría que frecuenta los anuncios de contactos ¿eh, bribón? ¡Está usted hecho un picha brava!

PÉREZ REVERTE: Si es que apenas quedan mujeres como las de antes. Ahora sólo se ven focas desechos de tienta que pasan junto a nosotros vestidas con pantalón pirata, lorzas al aire y camiseta sudada. Caminan arqueando las piernas, toc, toc, con tan poca gracia que es como para, piadosamente —¿acaso no se mata a los caballos?—, abatirlas de un escopetazo. ¿Dónde están esas tordas espectaculares con zapatos de aguja, cintura ceñida, curva de caderas y falda de tubo ajustada hasta las rodillas? Antes, hasta las niñas, en el recreo, se recogían con una mano la falda del babi y procuraban caminar con ese suave contoneo.

SÁNCHEZ DRAGÓ: No me hable de menores, que me pongo palote... ¡Je, je! Por favor, no me malinterpreten, que estoy de cachondeo. Sin embargo, en Tokio, un día, me topé con unas lolitas, pero no eran unas lolitas cualesquiera, sino de esas que se visten como zorritas: con los labios pintados, carmín, rímel, tacones, mini falta… Tendrían unos 13 años. Subí con ellas y las muy putas se pusieron a turnarse. Mientras una se iba al wáter, la otra se me trajinaba.

GUERRA: Calle, calle, que como le oiga el lobby feminista, se nos caen los pantalones. A mí sólo se me ocurrió referirme a Trinidad Jiménez como ´la señorita Trini´ y menuda me liaron. Y todo porque a Tomás Gómez lo llamé ´señor Gómez´. Lo de ´Trini´ era un diminutivo cariñoso, por la confianza, ya sabe… como el que emplea un padre con su niñita. ¿Qué querían? ¿Que llamara al candidato a la alcaldía madrileña ´señorito Tomasín´?

LEÓN DE LA RIVA: Ya ve, si es que esto de la paridad es una parida.

PÉREZ REVERTE: Y encima, ese ministro que se va llorando como un perfecto mierda cual nenaza premenstrual. ¿Es que no sabe que la valentía es lo propio del hombre y la sensibilidad un vicio femenino? ¡Coño, menuda perla filosófica! ¡Directa al Twitter!

GUERRA: Bueno, yo creo que la cumbre ha sido un éxito sin precedentes. Hemos cumplido como sementales.

SÁNCHEZ DRAGÓ: Sin duda. Mis felicitaciones, caballeros. Han negociado ustedes como putas viejas.

PÉREZ REVERTE: Señores, señores, por favor. No empecemos a chuparnos las pollas todavía. Pasemos todas las conclusiones extraídas en este histórico encuentro al acta de sesiones y vayamos a tomarnos unas cañitas. Y rapidito, que a las siete tengo reunión en la RAE.

Gema Panalés Lorca, periodista de La Opinión de Murcia.

Publicado en La Opinión de Murcia, el 1-XI-10.

Cuando vinieron a por los comunistas...

Cuando vinieron a por un ser humano, a pesar de serlo yo también, no dije nada. Paráfrasis del poema "Cuando los nazis vinieron...", que trata acerca de las consecuencias de no resistir las tiranías en los primeros intentos de su establecimiento. El orden exacto de los grupos y las palabras están sujetas a disputa, ya que existen muchas versiones, la mayoría transmitidas oralmente. El pastor protestante Martín Niemöller, su autor, menciona que no se trataba originalmente de un poema, sino de un sermón en la semana santa de 1946 en Kaiserslautern, Alemania “¿Qué hubiera dicho Jesucristo?”. Parece que fue su mujer la que le dio al sermón la forma de poema Esta cita frecuentemente se atribuye por error a Bertolt Brecht.

Francisco Bernabé Roca 17-X-10
Publicado en la pág. 25 de LA VERDAD de Murcia, el 4-XI-10.

jueves, 4 de noviembre de 2010

Antonio Burgos y el porno


Dice Antonio Burgos en su “Recuadro” de ABC que Leire Pajín tiene cara de peli porno… Y, seguro, que le parece muy gracioso y ocurrente ¡Qué mal hay que estar de la cabeza -y de otras cosas- para escribir algo así!
Creerá Burgos que esa afirmación sobre la secretaria de organización del PSOE hace honor a su fama de periodista mordaz y de tío echaopalante pero, en realidad, donde le coloca esa frase es en el archivo grosero, soez y casposo de la prensa española.
Me dirán que hablar de Leire Pajín en esos términos forma parte de la libertad de expresión del Sr. Burgos -escritor y periodista- y que yo, compañera de Leire, no tengo autoridad para reprobarlo. Pero ¿vamos a seguir callándonos ante faltas de respeto así? ¿Le gustaría al Sr. Burgos que dijeran lo que él ha escrito de Leire de una hija, o de una hermana o de una amiga suya? ¿O es que somos “todas putas menos mi madre y mi hermana”?
No tiene gracia, ninguna gracia, Don Antonio. Y le retrata, que es lo peor.

Elena Valenciano